4 conseils pour celles et ceux qui en ont marre de vouloir que tout soit parfait, impeccable, irréprochable, qui relisent 10 fois un mail avant de l’envoyer.
Mais d’abord, d’où vient ce besoin de perfectionnisme ?
Peut-être de votre « Sois parfait » : cette petite voix intérieure, nourrie depuis votre enfance (le fameux « peut mieux faire » 🤔!) qui vous dit de faire mieux, d’aller plus loin.
C’est un des 5 drivers bien connus dans l’Analyse Transactionnelle.
Tout d’abord, cette injonction est souvent très positive. Une personne ayant un « Sois parfait » dominant est en général une personne …
✅ Rigoureuse,
✅ Très impliquée,
✅ Tournée vers un objectif et les solutions,
✅ Qui a le souci d’un travail de grande qualité.
Mais travailler avec une personne qui a un « sois parfait » très prononcé peut se révéler fatiguant …
⛔ met la pression aux autres comme à elle-même,
⛔ éternellement insatisfait du travail réalisé pour elle,
⛔ a un niveau d’exigence élevé sur les autres comme sur elle-même,
Que faire ?
Il n’est pas question de supprimer cette injonction, elle vous a construit ! Cependant, si cette injonction vous pèse, si elle devient davantage une contrainte qu’un moteur, il est sans doute temps de lâcher un peu prise.
Et alors, 4 conseils :
💡 Se donner le droit à l’erreur,
💡 S’interroger sur ce qui est réellement important,
💡 Se questionner sur ce qui est vraiment attendu par l’autre,
💡 Accepter de ne pas faire tout à fait aussi parfait qu’imaginé.
Concrètement, essayez de lâcher un peu prise la 1ère fois vous coûtera sans doute au début mais cela vous permettra aussi de vérifier qu’il n’y a pas de conséquence …
Pourquoi ai-je choisi de parler aujourd’hui de ce sujet alors que mon créneau est plutôt le stress ?
🤚 Parce que ce type d’injonction est une machine à se fabriquer du stress soi-même.
🤚 L’idée est d’accepter que nous sommes parfois responsables d’une partie de notre stress.
🤚 Et de réaliser que si on sait se mettre la pression, on peut aussi décider de moins le faire.
De mon côté, prendre conscience de ce driver a été libérateur pour apprendre à lâcher. Un peu. Régulièrement. Pour me sentir mieux, durablement.
Vous souhaitez en savoir plus sur les autres drivers ? Consultez l’article fais plaisir !